La Section académique de VERSAILLES Syndicat National des Lycées et Collèges |
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Le CPE (Contrat de Première Embauche), objet de la grève du 7 février, n'est pas une mesure relevant de l'Education Nationale. Le SNALC, qui n'est en aucun cas une organisation politique, n’a pas, en tant que syndicat, participé à cette journée de protestation. Fidèle au principe de respect de ses adhérents et sympathisants, de leurs libertés intellectuelle et d'action, le SNALC a préféré laisser les professeurs donner libre cours à leurs convictions personnelles. D’après Laurent MARCONCINI |
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Le SNALC-CSEN, fidèle à son idéal de liberté individuelle, s’inquiète des violences et des pressions exercées à l’égard
des professeurs et des élèves des lycées. Le SNALC-CSEN demande solennellement au gouvernement de garantir aux professeurs et aux élèves la liberté du travail et l’accès libre dans les lycées . Un débat social important est engagé : il doit s’exprimer dans la sérénité. Paris, le 15 mars 2006. |
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La CSEN condamne fermement toutes les violences actuellement commises dans les lycées et les universités, ainsi que le
blocage, dans certains d’entre eux, de toutes les activités. De tels comportements sont inadmissibles et portent atteinte
aux libertés fondamentales. La CSEN appelle tous ceux qui ont en charge l’Education Nationale à en assurer le bon fonctionnement.
La CSEN tient, en outre, à mettre en garde les collègues qui, faisant fi de la neutralité de l’école, seraient tentés d’exercer une pression sur leurs élèves ou leurs étudiants dans le but d’imposer leur propre idéologie. La CSEN rappelle qu’il appartient au gouvernement de manifester un véritable esprit de dialogue et de concertation avec les organisations représentatives, ce qui n’a pas toujours été le cas. Paris, le 23 mars 2006. |
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Le SNALC-CSEN, syndicat professionnel de l’Education Nationale, estime ne pas avoir à se prononcer sur le CPE, contrat de
droit privé, ni à appeler à la grève du 28 mars 2006. Le SNALC-CSEN se préoccupe néanmoins de la situation dans les établissements scolaires et, fidèle à son idéal de liberté individuelle, demande au gouvernement de garantir aux professeurs et aux élèves l’accès aux établissements scolaires et la liberté de travailler sereinement. En revanche, le SNALC-CSEN considère que l’Education nationale a de lourdes responsabilités dans l’origine du chômage des jeunes. En galvaudant les diplômes au détriment de leur qualité, en sacrifiant la transmission de véritables savoirs et la formation de l’esprit critique, en faisant des Lycées Professionnels les « laissés pour compte » de notre système éducatif, elle ne permet pas à tous les élèves de se réaliser pleinement et d’atteindre leur niveau d’excellence . Le climat de violence qui se développe aujourd’hui dans les établissements scolaires est l’une des conséquences graves d’une politique éducative maintes fois dénoncée par le SNALC-CSEN. Paris, le 27 mars 2006. |